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Quelques préparatifs
pour le départ à Ziguinchor… Rangement de Babar, de
la R18, quelques courses… Cybercafé pour le carnet de voyage…
Départ vers 2h du mat' ; la dernière étape d'un voyage éblouissant nous tend les bras : A nous la Casamance !! Nous voici partis toujours accompagnés de nos amis bretons (Samy, Goulven, Ben), suisses (Béatrice, Robin, Marvin) et du québécois (Luc) ; Kelly l'anglaise, quant-à elle, préfère rester quelques jours de plus à Dakar.
Notre progression reste assez lente (la route se détériorant au fil du temps) ; il faut éviter les nids de poules, les ânes, chèvres, vaches, moutons et autres obstacles…
Vers 10h, nous arrivons au 1er poste de frontière sénégalo/gambienne. Comme d'habitude, il nous faut payer un bakchich. Combien d'argent, avons-nous laissé à tout ces fonctionnaires véreux tout au long du voyage ?? Vraiment beaucoup trop, mais ça fait parti du jeux non ?
Nous nous retrouvons au poste gambien, tiens ici, ils parlent l'anglais ?! Accrochez-vous et ne rigolez pas trop en les écoutant, ils sont très susceptibles.
Après de longues minutes de palabres, nous voici repartis sur une " route " plus défoncée que jamais en direction du " bac " qui nous fera traverser le fleuve Gambie.
Nous faisons la queue pendant 6 heures, puis excédés de voir des voitures et autres camions nous dépasser sans aucune gène, nous devons encore payer pour que les choses bougent en notre faveur.
Nous voici enfin sur le bateau qui fera quand-même demi-tour pour venir chercher une seule personne, mais bon, c'est normal, c'est quand même un militaire. Après 10 minutes d'une croisière sans encombre sous un magnifique coucher de soleil, nous voici sur l'autre rive… Enième coup de tampon : on aurait dû prendre 2 passeports, nous n'avons bientôt plus de place…
Nous voici en Casamance à la nuit tombante (vers 19h)… Les batteries de l'appareil photo et de la caméra commencent à être faibles, et le convertisseur 220 volts tombe en rade (heureusement qu'il n'est pas tombé en panne avant ; vous n'aurez pas pu être témoin de ce voyage…). La circulation étant interdite la nuit pour cause de " rébellion ", c'est plutôt du banditisme amplifié par les médias… Mais bon le résultat est le même, nous nous arrêtons au village Medina Wandifa, où un monsieur super sympa nous invite à poser nos matelas dans sa cour.
Après un bon repas, nous nous couchons exténués après notre nuit blanche…
Le lendemain, levé de bonne heure et de bonne humeur pour parcourir les 80 km qui nous séparent de Ziguinchor.
Nous aurions du mal à vous faire imaginer les paysages rencontrés (la batterie de l'appareil photo étant nase) : les arbres sont démesurés, les rizières flamboyantes, les oiseaux étincelantes, si c'est pas le paradis, ça y ressemble vachement…
Départ vers 2h du mat' ; la dernière étape d'un voyage éblouissant nous tend les bras : A nous la Casamance !! Nous voici partis toujours accompagnés de nos amis bretons (Samy, Goulven, Ben), suisses (Béatrice, Robin, Marvin) et du québécois (Luc) ; Kelly l'anglaise, quant-à elle, préfère rester quelques jours de plus à Dakar.
Notre progression reste assez lente (la route se détériorant au fil du temps) ; il faut éviter les nids de poules, les ânes, chèvres, vaches, moutons et autres obstacles…
Vers 10h, nous arrivons au 1er poste de frontière sénégalo/gambienne. Comme d'habitude, il nous faut payer un bakchich. Combien d'argent, avons-nous laissé à tout ces fonctionnaires véreux tout au long du voyage ?? Vraiment beaucoup trop, mais ça fait parti du jeux non ?
Nous nous retrouvons au poste gambien, tiens ici, ils parlent l'anglais ?! Accrochez-vous et ne rigolez pas trop en les écoutant, ils sont très susceptibles.
Après de longues minutes de palabres, nous voici repartis sur une " route " plus défoncée que jamais en direction du " bac " qui nous fera traverser le fleuve Gambie.
Nous faisons la queue pendant 6 heures, puis excédés de voir des voitures et autres camions nous dépasser sans aucune gène, nous devons encore payer pour que les choses bougent en notre faveur.
Nous voici enfin sur le bateau qui fera quand-même demi-tour pour venir chercher une seule personne, mais bon, c'est normal, c'est quand même un militaire. Après 10 minutes d'une croisière sans encombre sous un magnifique coucher de soleil, nous voici sur l'autre rive… Enième coup de tampon : on aurait dû prendre 2 passeports, nous n'avons bientôt plus de place…
Nous voici en Casamance à la nuit tombante (vers 19h)… Les batteries de l'appareil photo et de la caméra commencent à être faibles, et le convertisseur 220 volts tombe en rade (heureusement qu'il n'est pas tombé en panne avant ; vous n'aurez pas pu être témoin de ce voyage…). La circulation étant interdite la nuit pour cause de " rébellion ", c'est plutôt du banditisme amplifié par les médias… Mais bon le résultat est le même, nous nous arrêtons au village Medina Wandifa, où un monsieur super sympa nous invite à poser nos matelas dans sa cour.
Après un bon repas, nous nous couchons exténués après notre nuit blanche…
Le lendemain, levé de bonne heure et de bonne humeur pour parcourir les 80 km qui nous séparent de Ziguinchor.
Nous aurions du mal à vous faire imaginer les paysages rencontrés (la batterie de l'appareil photo étant nase) : les arbres sont démesurés, les rizières flamboyantes, les oiseaux étincelantes, si c'est pas le paradis, ça y ressemble vachement…