Dakar du 7 au 9/12/02... |
Page: 1 2 |
[ Prev ] [ Next ] |
Levé tardif,
on le mérite bien quand-même non ?? Manu, Alioune, Awa et Etienne vont faire laver les moteurs ; trois jours de désert les rendent méconnaissables ! Yoyo fait le tri dans les photos à envoyer ; Charlie quant-à lui, se réveil à 16h : quelle balance ce rédacteur du jour !! (Manu) On se retrouve tous autour d'un bon repas qui se poursuivra au son des guitares Ca fait du bien de se retrouver après 8 mois d'absence pour jouer On attend les bretons, les 3 suisses, le québécois et l'anglaise Qui n'arriveront qu'à 5 heures du mat' : ils se sont plantés et se sont retrouvés en plein centre de Dakar à tourner en rond Le propriétaire nous réclame plus d'argent que prévu ; la tension monte, mais se calme, fatigue oblige Et tout le monde part se coucher La nuit va être encore un peu courte 08/12/02 Levés tôt par les blablas du proprio qui aime trop l'argent (7500 Fcfa la chambre, c'est déjà très cher pour ici = 75 Frs français) On part à la recherche d'un autre appart' Juste à côté, à 5 mètres, au Telecentre On nous propose 3 chambres + 2 terrasses, pour seulement 15000 Fcfa (soit 1000 Fcfa par personne par nuit = 10 Frs français) Après la journée passée à la rédaction du carnet de voyage et une ou deux chansons fredonnées au rythme des guitares, nous partons nous coucher 09/12/02 Levé à 8h, aujourd'hui, l'administration sénégalaise nous attend de pied ferme Yoyo et Ablaye partent au P.S.I.C. (Programme de Soutiens aux Initiatives Culturelles) pour leur demander des subventions éventuelles pour l'enregistrement de l'album ; ils ne savent pas si ça va être reconduit cette année ; ils nous d'aller au Centre Culturel Français à Ziguinchor pour s'inscrire sur la liste d'attente Manu et Alioune quant-à eux, s'occupent des passeports et passe-avant de circulation Il faut s'armer d'une grande patience à toutes épreuves. Alioune et Manu restent 2 bonnes heures au service des passeports pour finalement apprendre que le passeport d'Alioune ne se trouve pas là L'obtention du passe-avant, est une autre galère : 2 heures également Il faut c'est vrai beaucoup de temps pour mettre un coup de tampon sur un bout de papier Après ces formalités, nous repartons vers Sicap Mbao, pour réparer la serrure de Babar. Après 15 minutes à coup de tournevis et de marteau et pour seulement 1500 Fcfa, Mame Cheikh Babar, repart tout content de fermer |
Retour |